Michel, employé fidèle de PEPIN SAS depuis 1985, partage son parcours et son expérience au sein de l'entreprise. Un témoignage de passion, de compétence et de fidélité, alors qu'il se rapproche de la retraite après 40 ans de carrière.

Bonjour Michel !

→ Pouvez-vous vous présenter et nous parler de votre parcours chez PEPIN SAS ?

Je m’appelle Michel et cela fait 40 ans que je travaille chez PEPIN SAS. J’ai intégré l’entreprise en 1985, à l’âge de 17 ans, et j’y ai fait toute ma carrière.

→ Quel a été votre parcours au sein de l’entreprise ?

J’ai occupé plusieurs postes au fil des années. J’ai commencé par l’usinage, puis j’ai évolué vers la rectification plane, le rodage et un peu de tournage. Aujourd’hui, je suis principalement en charge du rodage et je fais également de la réctification plane.

→ Quelle formation avez-vous suivie avant de rejoindre l’entreprise ?

J’ai fait un CAP en mécanique, qui m’a permis d’acquérir les bases du métier avant d’intégrer PEPIN SAS.

→ Comment trouvez-vous l’ambiance de travail chez PEPIN SAS ?

L’ambiance est globalement très bonne. Il y a toujours des hauts et des bas, mais dans l’ensemble, c’est un environnement agréable où l’on se sent bien.

→ Qu’appréciez-vous particulièrement dans votre travail ?

J’aime la précision et la minutie qu’exige mon métier. Il faut être concentré et rigoureux, ce qui me plaît beaucoup. Les conditions de travail sont aussi très bonnes, avec un atelier propre et bien organisé.

→ Comment envisagez-vous les prochaines années avant la retraite ?

Il me reste environ quatre ans avant la retraite, et j’espère que tout se déroulera en douceur. Mon objectif est de terminer ma carrière sereinement, en bonne santé.

→ Un dernier mot pour conclure ?

Je tiens à remercier PEPIN SAS pour tout ce qu’elle m’a apporté au fil des années. C’est une belle aventure que j’ai eu la chance de vivre ici !

LE MOT D’AMÉDÉE

Michel, l'un des plus anciens de l'équipe, a rejoint Pépin bien avant notre arrivée. Il a d'abord exercé en tant que fraiseur traditionnel. Avec l’introduction des commandes numériques, il a pris en charge une fraiseuse semi-numérique qu’il a pilotée pendant plusieurs années. Michel fait partie de cette génération très manuelle, dotée d’une sensibilité mécanique impressionnante. Il y a environ 4-5 ans, nous lui avons confié la partie rodage cylindrique, une tâche nécessitant une dextérité exceptionnelle pour ajuster au micron des pièces avec une précision extrême. Avant de devenir rôdeur sur une machine à rôder cylindrique, il a travaillé avec Jimmy en rectification plane, ce qui lui confère aujourd’hui une double casquette. Cette évolution démontre la capacité de Michel à s’adapter et à faire preuve d’une grande polyvalence, en nous accompagnant désormais dans des tâches liées à la haute précision.